Jean-Paul Filion life and biography

Jean-Paul Filion picture, image, poster

Jean-Paul Filion biography

Date of birth : 1927-02-24
Date of death : 2010-12-27
Birthplace : Notre-Dame-de-la-Paix, Canada
Nationality : Canadienne
Category : Arts and Entertainment
Last modified : 2011-03-04
Credited as : chansonnier, auteur, poète et peintre , chanson:Tu m'as souvent dit-Lise Roy , Ce grand amour -Renée Claude

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Jean-Paul Filion, né à à Notre-Dame-de-la-Paix, le 24 février 1927 et mort le 27 décembre 2010, est un chansonnier, auteur, poète et peintre canadien.

Il étudie en Administration au Business College d'Outremont.
Au début des années cinquante, Hydro-Québec l'embauche en tant que dessinateur. Il est également assistant-décorateur pour Radio-Canada.

En 1955, il publie son premier recueil de poèmes aux éditions de l'Hexagone, intitulé Du centre de l'eau. Parallèlement, il participe aux soirées de l'Ordre du bon temps, où il débute sa carrière chansonnière. Les premières chansons

En 1957, Jean-Paul Filion enregistre son premier disque, qui paraît simultanément en 78 et 45 tours. Ce disque contient la chanson qui sera son plus grand succès : La parenté. La même année, Georges Guétary endisque Tu m'as souvent dit et La fille de Maniwaki.

Sur son premier album, qui paraît en 1958, figure entre autres La Pitro et Su’l’chemin des habitants. Lise Roy interprète alors Par la fenêtre et reprends la chanson Tu m’as souvent dit. La chanteuse remporte également le Concours de la Chanson Canadienne avec La folle. Cette chanson devient également le premier enregistrement de Pauline Julien.

Jacques Labrecque enregistre, outre une reprise de La parenté, Monsieur guindon, une chanson qui seras interdite à la radio. Ce dernier interprète également Su’l’chemin des habitants et En petit boogie. Une version anglaise de La parenté, traduite par Lucie Stewart sera également endisquée par le grand folkloriste. Jean-Paul Filion obtient une bourse du Conseil des Arts en 1959. Il séjournera alors à Paris où il se produit au cabaret Chez Moineau, en 1960. De la chanson à la littérature

En 1962, paraît Demain les herbes rouges (Éditions de l’Hexagone), bientôt suivi de Un homme en laisse (Éditions Du Jour). Ce dernier roman remporte d’ailleurs en 1963 le prix de la Province de Québec. Au début des années soixante, l’artiste écrit également des télé-théâtre pour le compte de Radio-Canada. C’est ainsi que naît La grande gigue (1961) et Une marche au soleil (1964).

En 1963, Renée Claude interprète Ce grand amour et C’est mon œil. L’année suivante elle endisque La Mélissa. En 1965, Monique Leyrac, reprend La folle. Elle n’est pas la seule à reprendre les chansons de l’auteur au cours des années. La parenté sera enregistrée par une multitudes d’artistes, notamment François Dompierre (1965), Lucien Hétu, Roger Pilon (1965), Angèle Arsenault (1995) et Pier Béland (1996). En 1962, Pierre Nolès en fera une version twist intitulée La parentwist.

C’est en 1966 que paraît, sur étiquette Gamma, le dernier album de Jean-Paul Filion. Il s’installe par la suite sur la Côte de Beauport, dans la région de Québec, et se consacre définitivement à l’écriture. Sa pièce La maison de Jean Bell est d’ailleurs joué, en 1973, au théâtre Galendor de l’île d’Orléans. Autobiographie et rétrospective

Au cours des années soixante-dix paraît son autobiographie en trois tomes : Saint-André-Avelin… le premier côté du monde (1975), Les murs de Montréal (1977) et Cap-Tourmente (1980). Son roman À mes ordres colonel, publié en 1982, remporte le Prix littéraire de l’Outaouais 1983.

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